Petition pour l'Interdiction légale des chatîments corporels

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Newsletter no 1 - janvier 2018

2018-01-18 17:59:51

Pétition pour une interdiction des châtiments corporels et de la violence psychologique à l’encontre des enfants

Déjà 700 signatures – nous en voulons 10 000 !  

Lancée le 12 septembre dernier, notre pétition a recueilli un large écho dans les médias (voir site web) et de nombreuses signatures. 

Parmi les signataires, bon nombre ont profité de l’occasion pour ajouter un commentaire personnel : «La violence à l’encontre des enfants a des conséquences graves toute la vie durant. Je sais de quoi je parle», nous écrit l’un des signataires. Un autre : «Même les claques et les fessées sont des actes violents. Pour l’enfant, chaque coup est douloureux.» «L’éducation doit se faire sans violence. C’est un devoir des parents», nous dit une mère. Un père nous écrit : «Je signe parce qu’en tant que père je sais combien les enfants sont sensibles et vulnérables. Nous avons le devoir de protéger nos enfants contre la violence.»

A ce jour, nous avons reçu 700 signatures via notre site web et sur papier. Vous avez déjà signé la pétition?  Ou vous avez l’intention de le faire? Pour arriver à 10 000 signatures, nous avons besoin de votre aide. Merci de (re)transmettre notre lien à vos contacts.         

  • L’interdiction des châtiments corporels et de la violence psychologique à l’encontre des enfants doit être inscrite dans le Code civil (CC) et non dans le Code pénal, car il ne faut pas criminaliser les parents. Ce n’est pas simplement la fameuse gifle qui est en cause mais la violence en général à l’encontre des enfants. La claque occasionnelle dépasse déjà une limite. Les châtiments corporels sont humiliants pour les enfants. Ils les fragilisent psychologiquement et nuisent à leur développement.
  • Une interdiction n’aura d’effet que si elle est accompagnée de campagnes d’information sur les droits de l’enfant et d’une offre de soutien pour les parents (conseils et sensibilisation des parents).  
  • Les adversaires de la pétition affirment qu’une claque n’a jamais fait de mal à personne et estiment qu’une gifle ou une fessée au bon moment est un moyen éducatif légitime. Mais c’est faux. Même les gifles sont une forme de violence et d’humiliation à l’encontre des enfants. Les châtiments corporels ne peuvent être considérés comme une méthode pédagogique. Il y a d’un côté la violence, de l’autre l’éducation. L’éducation par la violence est un oxymore.  

Chaque signature compte. Plus nous aurons de signatures, plus nous aurons de chance de gagner le Conseil fédéral et le Parlement à notre cause. Vous pouvez également nous soutenir en versant un don qui nous aidera à atteindre notre objectif. Cliquez ici pour accéder à notre IBAN – merci d’avance !

Nous vous remercions pour votre soutien et vous souhaitons un bon début d’année, dans la non-violence !  

Non à la violence à l'encontre des enfants

Jean Zermatten, Barbara Heuberger, Andreas Brunner et Franz Ziegler

Calendrier :  

30 avril 2018 : Journée internationale de la non-violence dans l’éducation (No Hitting Day)

Depuis 1998, cette journée a pour but de rappeler, au plan international, que les enfants ont droit à une éducation sans violence.    

3 et 4 mai 2018, Inselspital, Berne 9e colloque international

Pour mieux protéger les enfants en Suisse : interdire les châtiments corporels ?

Organisé par : Centre interfacultaire en droits de l'enfant (CIDE), Université de Genève (Site Valais), Sion Centre suisse de compétence pour les droits humains (CSDH) Haute école pédagogique Valais (HEP - VS), St-Maurice & Brigue Haute École de Travail Social, HES-SO Valais//Wallis Institut international des Droits de l’enfant (IDE), Sion Service cantonal de la jeunesse, Valais Contact : courriel à colloque-cide-mai@unige.ch

 




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