PÉTITION BERGER BLANC

Solange Pilon
Visiteur

/ #661 Monsieur Couture et Madame

2011-04-23 17:07

Monsieur Couture et Madame votre conjointe, j'ai regardé le reportage sur votre entreprise et oui, je suis d'accord avec vous, il y a beaucoup de sensationnalisme dans ces reportages. Ils montrent le mauvais côté des choses, justement celui qu'on cache au public. A quoi leur servirait de montrer les bonnes choses que vous et votre personnel faites? Tout le monde le sait que vous en faites et pas juste un peu. Mais voilà, les médias servent à nous faire voir ce qui est caché, secret, ce que l'on ne doit voir sous aucun prétexte. Et çà, il y en a partout. Je suis experte en comportement canin et si vous pensez que ce vieux chien, assis parmi des cadavres de ses pairs ne sait pas ce qui l'attendais, et bien vous vous trompez royalement. Dois-je vous apprendre que les chiens pensent, réfléchissent et comprennent ces choses. Vous devriez lire 'Quand les éléphants pleurent' et vous comprendrez qu'il n'y a pas que les humains qui utilisent leurs cerveaux.
Comment se fait-il ne vous n'étiez pas au courant de ce qui se passait dans votre entreprise? Vous n'en faites jamais le tour? Vous n'allez jamais voir? Savez-vous que si la bouche ment, le visage lui ne ment pas? Etes-vous un gestionnaire de chaise dans votre bureau? Un certain civisme m'oblige à dire ''Monsieur'' mais vous êtes tout, sauf un ''Monsieur''.
Dans le plaidoyer sur le site du Berger Blanc, on dit: Faute émise par un employé faible, dépressif, qui surmontait de gros problèmes personnels tels que le séisme en Haïti qui a frappé plusieurs membres de sa famille, ainsi que l'incendie de son logement dans lequel il a tout perdu. Il était considéré par toute l'équipe comme étant le meilleur assistant concernant la contention, il avait la dextérité, l'approche et surtout la force mentale de s'affairer à ses tâches telles que placer les animaux décédés en chambre froide et désinfecter puis stériliser les espaces. Plusieurs mois avant cet évènement il nous faisait part qu'il se sentirait plus valorisé s'il pouvait apprendre le fonctionnement des injections, ce que notre équipe vétérinaire lui apprit. Il su rapidement démontrer un professionnalisme dans ces fonctions, qu'il effectuait avec respect et selon les méthodes et directives instaurées. Erreur humaine, nous n'avons pas su lire la détresse qui s'installait graduellement et son changement de comportement.
Vous m'en direz tant!!! La cruauté se révèle dans ses mots tout comme le mensonge dans votre figure Pierre Couture! Je n'ai aucun doute quant à sa facilité avec la contention; la question à se poser est la suivante: Faisait-il cette contention dans les règles de l'Art? Quoi, c'est un Art? Ben oui woyon c'est un Art. Votre texte est contradictoire: il était faible, dépressif mais avait la force mentale de mettre les cadavres (dont certains respiraient encore) dans les bacs. Et il se sentirait plus valorisé d'apprendre l'euthanasie??? Merde de merde Pierre Couture, vous soutenez que c'est valorisant de tuer des animaux sans défense par ces propos! On est donc obligé de croire le reportage. Et vous défendez ce tueur en alléguant ses problèmes sociaux-émotifs. Il aurait demandé à plusieurs reprises d'apprendre à euthanasier les animaux. Vous ne vous êtes pas interrogé? Ce type a la cruauté inné en lui et il le prouve par ces mots: 'Je sens la mort dans l’air, pas vous'. Cet employé et votre entreprise devriez être poursuivis pour cruauté envers les animaux.
Ou est cet employé actuellement? Travaille-t-il encore chez-vous? Je crois avoir lu qu'il avait été transféré dans un autre département... Si c'est exact vous êtes bien minable. C'est la porte qu'il aurait du prendre et sans possibilité de chômage. Son relevé d'emploi aurait du contenir les mots suivant: congédié pour cruauté envers les animaux et pour manque de conscience et intelligence. Apprendre qu'un de mes employés a agit ainsi avec preuves à l'appui (même une seule fois), je le poursuivrais moi-même en Cour. Il n'aurait jamais une deuxième chance.
Je me répète: Le vieux chien assis parmi les cadavres savait ce qui l'attendait. La cruauté n'est pas seulement dans l'acte de piquer mais dans cet acte ignoble et oh! combien inadmissible. Monsieur Couture j'aimerais vous placer dans une pièce avec dix autres personnes et chaque jour, l'un d'entre eux, choisi au hasard, perdrait la vie, vous le dernier jour.
Monsieur Couture vous avez encore la chance de faire quelque chose de bien: vendez votre entreprise et achetez-vous un commerce de chandelles... Il en va de même pour votre conjointe et tous les propos tenus ici la concernent également. Vous saviez tous les deux ce qui se passait chez-vous mais n'avez jamais réagi. Vous et votre conjointe êtes pitoyable!!!