Contre la dégradation de l'action syndicale

Chers collègues,
Vous constatez dans quel climat nous nous réveillons ! A ceux qui parlent au nom de la majorité silencieuse. Comme d'habitude, Beaucoup ne sont ni d' un côté ni de l'autre. Ce qui fait mal c'est que notre syndicat local a abusé de cette situation. En s'octroyant la voix des silencieux. C petit comme comportement surtout de la part d'universitaires. Dans cette charge contre le président on manque de preuves. Nous ne pouvons pas être du côté ni des uns ni des autres. Le clanisme est à bannir. L'intérêt général presque personne n'en parle sauf pour le mettre en avant d'intérêts personnelles à peine dissumulés. Personne n'est dupe. Le niveau de notre université, sa capacité à former des citoyens, sa capacité à faire émerger des penseurs ne trompent plus personne. La décadence de l'université reçoit l'unanimité de nos jugements. Qu'a t on fait on envers ça ? Rien !! Nos conseils pédagogiques se réservent l'exlusivité des emplois de temps et planning semestriels !. Chose qui ailleurs est du ressort de l'administration et des assistantes de direction! Pardon j'ai failli oublier nos conseils pédagogiques entérinent et font suivre nos filières. Ah les filières ... Expression suprême de notre égoïsme et narcissisme. Sans aucune vergogne et contre toute logique notre université clame fièrement le nombre "astronomique" de filières déposées que ni les moyens humains ni matériels peuvent justifiées. Profusion d' LP de masters qu'en fin de course personne n'évalue. Des générations d'étudiants leurrés sacrifiés. Ces derniers jours j'ai été amener à surveiller des épreuves écrites ou la majorité des étudiants finissent avant l'écoulement de la moitié de la durée allouée. Sans parler du niveau de l'examen que mes enfants et aussi beaucoup de vos enfants fait rire, j'aimerai qu'au moins que la durée soit adapté à l'épreuve. Honte à nous, honte à nous .!!!
Ne parlons même pas de la recherche scientifique, que la majorité n'a côtoyée qu'il à l'occasion de thèse, leurs thèse. Nos parlons pas de nos structures de recherches. Tout ce dont j ai parlé et évoqué ne relève que de nous, les filières, le niveau de nos étudiants, notre recherche scientifique, ... Là l'aDministration n'est n'est coupable que par son manque d'mplication elle nous a laisser faire. Peut être aurait elle peur d'être accusée d'ingérance! Alors corrigeons nous avant de vouloir corriger les autres. Abstenons nous de jeter la pierre.
Je fini par cette question : Doit il y en avoir de plus préoccupant que nos étudiants incapables de former une phrase et à qui on distribue des diplômes universitaires? Ne me dites surtout pas que c'est pas nous qui les évaluons.