Logement : Monsieur le Président, où sont passées vos promesses ?


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2011-08-07 23:31

Le respect de tout homme, le refus de la violence qui consiste à tolérer les familles sans logis (alors que les ouvriers qui sauraient en construire sont condamnés à l'inaction), devraient pouvoir être acceptés par le Président de la République et son gouvernement au nom de la définition que la lucidité nous donne de nous-mêmes. Le courage nécessaire pour participer à l'orientation de l'humanité vers un destin digne de ce qu'elle peut faire, trouvons-le dans ce constat:il nous faut sortir de l'enfance de l'humanité; personne n'a le droit de priver une famille d'un logement en le privant de son regard.
Théo Héikay