La guerre du M23 n'est pas un probleme congolo-congolais mais plutot une guerre d'aggression fomentee en dehors des frontieres nationales par des pays etrangers. Les troupes constituant le M23 sont confirmees ayant une nationalite etrangere. Il est par consequent hors de question de signer un quelconque accord avec les aggresseurs etrangers et les integrer dans les institutions nationales. C'est encore la une autre guerre a retardement.

Vraiment  le Kongo est occupé, d'abord nous avons à la tête du pays le president tutsi rwandais que la dite communauté maudité internationale par la voie de  louis michel  a placé par force pour pouvoir mettre les mains sur nos richesses , avant cette communauté a ourdi un complot de faire une guerre dìnvasion en utilisant le rwanda uganda et burundi tous des tutsis pour venir au kongo et éxterminer tous les bantus kongolais  dès que leur deux guerres ont été farouchement  défaites par les fils du pays appélés Mai Mai cette dite communauté a commencer a faire des plans des groupes armées à l interieur du pays avec l aide des conseils du maudit tony blair , tout ce qui se passe au kongo aujourd'hui au kongo est le fruit des plans de la communauté internationale et voilà la meme communauté maudite veut demembrer notre pays en éxigeant de signer un accord avec les vaincus  criminels tutsis , nous n'accepterons jamais qu'un pays dit souverain soit assujettis et marginalisé, les kongolais sont capables eux memes de s'assumer si ces quemandeurs pilleurs maffieux cessent leur plan machiavélique contre le kongo et la nation kongolaise kongoise, nous disons non aux troupes de rwanda uganda et du burundi (tutsis ou hutus ) quìls restent chez eux   nous nous suffisons.ces criminels qui se disent etre tuttsis kongolais alors que au kongo nous n'avons jamais eu cette tribu depuis le monde ait monde et kongo en particulier.

Nous disons non  aux etrangers dans notre armée et kanambe alias joseph kabila doit partir quitter le kongo le plus vite possible et tous ces freres tutsis qui partout dans nos institutions .