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AH NON !!!

/ #6684 Le NEW YORK TIMES valait mieux que ÇA ....

2017-07-13 02:38

 

ET MAINTENANT, LES MÉDIAS INVENTENT UNE COLLUSION RUSSIE / DONALD TRUMP JUNIOR ?  OU COMMENT CRAVACHER UN CHEVAL MORT.

Publié par Magali Marc (12 juillet 2017)

" Ces derniers jours, le New York Times (et les médias qui le prennent comme référence) s’acharne sur cette HISTOIRE BIDON de collusion de Trump avec les Russes pour battre Hillary Clinton à l’élection présidentielle.

Cette fois, c’est le fils de Trump, Donald Trump Junior, qui sert de tête de Turc au journal. Les médias font tout pour détourner l’attention du fait que si les Russes ont effectivement tenté d’influencer l’élection présidentielle américaine  << ce qui reste à prouver >>  c’est Barack Obama qui devrait faire l’objet d’une enquête.

(D’après le New York Times, après avoir reçu un courriel de la part de Rob Goldstone, un relationniste, Donald Trump fils a rencontré en juin 2016 une avocate liée au Kremlin. Le courriel l’informait que l’avocate détenait des renseignements qui pouvaient aider la campagne présidentielle de son père. Le New York Times s’est basé sur trois sources ayant eu accès au courriel. Une des sources soutient toutefois qu’il ne sait pas clairement si M. Goldstone connaissait l’origine des renseignements ou s’il était une simple courroie de transmission.

Rob Goldstone prétend avoir organisé cette rencontre à la demande du chanteur et homme d’affaires moscovite, Emin Agalarov, qui a déjà voulu s’associer à Donald Trump pour un projet hôtelier. Il n’y a toutefois aucune preuve suggérant que les renseignements promis étaient liés au piratage informatique du gouvernement russe.) "

" (Traduction de l'article de Wesley Pruden paru dans le WASHING TIMES, le 10 juillet dernier. ) "

Opinion de Wesley Pruden :

" Nous y sommes enfin. Les chevaux morts ne servent à rien à la plupart des gens, mais les Démocrates, leurs fuiteurs complices et leurs disciples dans certains journaux sont bien décidés à ergoter sur ce cadavre puant.

Le dernier «scoop» : des intrépides chasseurs de canassons du New York Times ont dégoté une histoire de rencontre entre Donald Trump et des Russes qui auraient eu des secrets intéressants à révéler concernant Hillary Clinton.

C’était lors d’une réunion survenue à un moment qui selon le journal était un point tournant de la malheureuse campagne présidentielle de 2016. (NdT: malheureuse pour les Démocrates).

Dommage pour les cracks du scoop du New York Times, ce n’était pas vraiment Donald Trump, mais Donald Trump Jr., le fils du Président, qui gère les intérêts immobiliers de la famille, qui a rencontré les Russes. De quoi ont-ils parlé? De l’adoption de bébés russes par des Américains et d’un concours Miss Univers, une franchise détenue par les intérêts de Trump, qui doit avoir lieu à Moscou.

Le New York Times n’a pas précisé s’il a été question de la taille des chaussures et des soutiens-gorges des concurrentes, ou si les Russes avaient promis de présenter des concurrentes aux mesures parfaites de 38-24-36, si appréciées par les juges des concours de beauté.

Peut-être que le journal réserve ces détails croustillants pour de prochains scoops.

On ne saisit pas vraiment ce que The New York Times cherche à faire avec cette fausse nouvelle. Peut-être apporter la preuve que M. Trump avait envoyé une équipe de campagne afin de livrer aux Russes une pastèque creuse remplie de microfilms donnant des spécifications concernant la prochaine génération de la bombe H.

Après des mois de reportages haletants, à brûle-pourpoint, promettant d’apporter des révélations renversantes concernant un VRAI COMPLOT, nous ne voyons toujours NI FEU, NI FUMÉE ou quoi que ce soit qui pourrait apporter des preuves susceptibles de causer l’annulation des élections, l’annulation de la nomination de Gorsuch à la Cour suprême des États-Unis, et l’installation, enfin, d’Hillary Clinton à la Maison-Blanche. Ou quelque chose du genre.

En lisant le reportage du Times, on n’arrive pas à savoir si l’avocate russe, Natalia Veselnitskaya, a réellement donné les informations compromettantes promises sur Mme Clinton. Mais avec une espionne russe prénommée « Natalia » et portant un nom de famille imprononçable, John le Carré pourrait bâtir un SOMBRE ROMAN à SUSPENSE qui tournerait autour d’une série d’intrigues, avec ou sans microfilm dissimulé dans une pastèque creuse.

M. Trump, Junior non senior, a déclaré qu’il avait accepté la rencontre avec l’avocate russe, tenue à la Trump Tower de Manhattan, à la demande d’un ex-collègue, organisateur dans le passé d’un concours Miss Univers.

« Après les échanges de politesse», a-t-il déclaré avec précision, la femme a prétendu détenir des informations selon lesquelles des individus liés à la Russie finançaient le Comité national démocratique et soutenaient Mme Clinton. Ses déclarations étaient vagues, ambiguës et n’avaient aucun sens. Aucun détail ou information à l’appui n’a été fourni ou même proposé. Il est vite devenu clair qu’elle n’avait pas d’information significative.»

M. Trump Jr. a déclaré que la conversation avait ensuite porté sur l’adoption d’enfants russes et sur une loi américaine qui permet de tenir une liste noire de Russes soupçonnés de contrevenir aux droits des personnes. Le Président russe, Vladimir Poutine, a été tellement outré par cette loi qu’il a mis fin aux adoptions américaines d’enfants russes.

« Il est devenu clair que c’était là le véritable sujet de discussion de cette rencontre», a déclaré M. Trump, « et que la prétention de détenir des informations potentiellement dommageables [sur Hillary] n’était qu’un prétexte.»

Jusqu’à présent donc, l’histoire n’est qu’un autre «hamburger -sans-viande» servi comme amuse-gueule avant le gros bifteck d’aloyau promis au sujet de la collusion des Russes avec Donald Trump, Senior non junior, tant attendu par les jacasseurs des médias.

Pour mémoire, le reportage précise que les avocats du président ont déclaré que Trump Senior n’était pas au courant et n’avait pas assisté à la rencontre. Mais si un lecteur veut croire qu’il y était, le journal s’en tamponne le coquillard.  SI CE N'EST PAS VRAI !  ÇA POURRAIT L'ÊTRE.

Finalement, il était temps d’ajouter à ce reportage, un emballage affriolant : « Des agences de renseignement américaines [non identifiées, bien sûr] ont conclu que les pirates et les propagandistes russes ont travaillé pour aider l’élection de Donald J. Trump [au cas où il y aurait confusion concernant de quel Trump il s’agit], d’abord en volant, puis en fournissant à WikiLeaks les courriels internes du Parti Démocrate et de Clinton qui étaient embarrassants pour Mme Clinton.

Ça faisait au moins, une tranche de cornichon à l’aneth pour consoler les lecteurs déçus par un autre burger vide.

M. Trump Junior n’a enfreint aucune loi en acceptant la rencontre. Il ne fait pas partie de l’Administration Trump, il n’a pas de cote de sécurité et il n’est pas tenu par la loi de divulguer ses contacts avec des étrangers.

Aucun enquêteur, fédéral ou congrès, n’a demandé la divulgation de ses contacts.

Il était apparemment engagé dans de la “recherche d’opposition”, c’est-à-dire la recherche d’un peu (ou de beaucoup) d’information sensible qui est le carburant de toute campagne politique.

Les MÉDIAS JACASSEURS sont incapables DE LÂCHER cette HISTOIRE de COLLUSION ENTRE TRUMP et LES RUSSES, peu importe combien de canassons déterrés se révèlent être bel et bien morts.

Peut-être que le reportage du siècle se cache dans l’ombre de Donald Trump, mais ce n’est pas celui-là. "

" Le NEW YORK TIMES valait mieux que ÇA !!! "

 

AH NON !!! :  Pauvre New York Times cela commence à devenir RIDICULE...même chose pour nos médias qui semblent s'acharner à dénigrer le PRÉSIDENT des ÉTATS UNIS.