PÉTITION BERGER BLANC

Quoted post

Regardons dans notre cour
Visiteur

#1165 Le problème est dans la cour de chacun

2011-04-28 00:23

La cause est noble de vouloir sauver nos animaux domestiques de cette cruauté, mais peut importe que le Berger Blanc ferme, que les gouvernements s'en mêle, que chaque maire des villes mette ses culottes, que Anima Québec et compagnie fasse leur devoir et que d'autres centre d'animaux soient ouverts, le problème ne sera jamais réglé car la base du problème est dans la cour de chacun. Il faut se poser des questions à savoir pourquoi plus de 30,000 animaux sont abandonnés chaque année. À qui la faute? C'est tellement facile de se déculpabiliser et de remettre le tout sur les épaules des autres. Mais si 30,000 animaux sont abandonnés chaque années, c'est qu'il y a 30,000 propriétaires qui s'en sont débarassés. Si quelqu'un ne veux plus de son animal de compagnie, qu'il ait au moins la décence de payer dans une clinique vétérinaire pour le faire euthanasier décemment, en assistant à l'euthanasie. Ceci pourrait l'inciter ainsi à ne pas se virer de bord pour aller en chercher un autre immédiatement et recommencer le même stratagème dans l'année d'après. Il serait bon que tous à chacun fasse un bon examen de conscience à savoir s'ils n'ont pas des torts eux aussi dans cette barbarerie. Il faut réfléchir!!!!!

Réponses

Provisoire ou permanent?
Visiteur

#1167 Re: Le problème est dans la cour de chacun

2011-04-28 01:04:46

#1165: Regardons dans notre cour - Le problème est dans la cour de chacun 

 Mais pour le 30,000 animaux abandonnés, si la personne avait à payer un prix assez consistant pour s'en départir, cela amenuiserait le problème.  On y penserait à deux fois et même trois fois avant d'aller le porter à une fourrière.  Je crois que le prix à payer entre en ligne de compte pour rendre les gens responsables de ce qu'ils ne veulent plus.  Si nous nous départissons de notre animal à un prix dérisoire, le comportement devient dérisoire quand nous allons en porter un et oups un autre l'année qui suit, justement parce que la personne peut se permettre de payer ce petit montant.