Performance Souad Douibi - La dernière kaada ( قعدة) - Vol de propriété intellectuelle

Souad Douibi est une artiste activiste et engagée, plasticienne et performeur, diplômée de l’école des Beaux-Arts d’Alger. Elle se démarque du lot, en 2005 lors d’une exposition collective avec « El Sebaghine » au centre des Arts d’Alger, depuis son parcours artistique est des plus riches et ses participations multiples, on comptera : la 1ère Rencontre d’Art Contemporain du M’Zab (2006), la 7e Édition du Festival « Images Artistiques Vidéo » au Centre Culturel Pablo NERUDA (Nîmes, 2007), la Biennale des Jeunes Créateurs d’Europe et de la Méditerranée, (Bari, 2008), Festival International de la Vidéo Art (Damas), la Méditerranéenne d’Art Contemporain d’Oran (2012), Femmes et oppression Casa Sahara (Séville), Nour Festival, The Tabernacle w11(Londres, 2015), Art D Cicle d’art d’acció (Première Session), Festival La Muga Caula- 13ème rencontre de poésie d’action et de performance (Les Escaules). Elle Fonde, en 2014 le groupe Belaredj « El Haik en ville », dont elle expose la problématique « El Haik, Identité Algérienne au Féminin » au Musée National du Bardo, la même année. Souad DOUIBI est également initiatrice des évènements de la ville d’Alger « Un Samedi En Couleurs ». Elle enseigne actuellement l’art thérapie à l’Institut Supérieur Paramédical d’Alger, et anime plusieurs ateliers d’art plastique et de théâtre, dans le sud algérien, ainsi que dans des festivals culturels à Alger et sur l’ensemble du territoire national.  Victime d’un vol de propriété intellectuelle, sur la performance -  La dernière kaada ( قعدة) . 

 

Nous créons cette pétition pour la soutenir dans ce qui est devenu un harcèlement moral par l’escroc qui a déposé son œuvre à elle, auprès de Office National des Droits d'Auteur et Droits Voisins , quand celle-ci refusait d’enregistrer l’œuvre pour l’artiste auteure , sous prétexte que la performance ne se dépose pas comme idée !!!!! 

 

NB : Une performance artistique est une action artistique comportementale entreprise par un (ou des) artiste(s), face à un public. L’œuvre peut être présentée en solo ou en groupe, être accompagnée d’éclairages, de musique ou d’éléments visuels réalisés par l’artiste, seul ou en collaboration, et produite dans des lieux les plus divers, des galeries d’art aux musées et aux espaces « alternatifs ». La performance peut n’être exécutée qu’une fois ou réitérée, s’appuyer ou non sur un scénario, être improvisée ou avoir fait l’objet de longues répétitions. C'est un médium ou une tradition artistique interdisciplinaire qui trouve son origine dans des pratiques artistiques d'avant-garde de la première moitié du xxe siècle comme le futurisme, Dada, le surréalisme et l'école du Bauhaus. Elle occupe une place de premier plan depuis le xxe siècle et RoseLee Goldberg parle même d’« avant avant-garde ». L'art performance est, par essence, un art éphémère qui laisse peu d'objets derrière lui. Il est essentiellement connu par ses traces : des photographies, le plus souvent, et parfois des films et des témoignages comme l’artiste contemporain Tino Sehgal qui désire que toutes ses pièces soient éphémères et survivent uniquement grâce à la mémoire des témoins. « Bien que l’idée de performance soit présente dans les deux cas, il faut distinguer la performance en direct de la performance en différé. La photographie, la vidéo, le film, l‘enregistrement sonore et certaines formes de sculpture […] sont souvent le support d’œuvres où la performance est en différé, note Chantal Pontbriand. Il est évident dans ce cas qu’il ne s’agit pas seulement de documentation mais de véritables performances réelles ». L'art performance est, par essence, un art éphémère qui laisse peu d'objets derrière lui. Il est essentiellement connu par ses traces2 : des photographies, le plus souvent, et parfois des films et des témoignages comme l’artiste contemporain Tino Sehgal qui désire que toutes ses pièces soient éphémères et survivent uniquement grâce à la mémoire des témoins. « Bien que l’idée de performance soit présente dans les deux cas, il faut distinguer la performance en direct de la performance en différé. La photographie, la vidéo, le film, l‘enregistrement sonore et certaines formes de sculpture […] sont souvent le support d’œuvres où la performance est en différé, note Chantal Pontbriand. Il est évident dans ce cas qu’il ne s’agit pas seulement de documentation mais de véritables performances réelles »3. Certains historiens de l'art situent l'origine de l'art performance dans la pratique des rituels ou rites de passage observés depuis l'origine de l'Homme. D'un point de vue anthropologique, l'art performance s'est manifesté et défini de différentes manières à travers les cultures et les âges. Selon Richard Martel, l'art performance constitue peut-être la forme artistique la plus ancienne de l'humanité. Une chose semble néanmoins claire : le corps, le temps et l'espace constituent généralement les matériaux de base d'une « performance ». Dans la tradition de l'art contemporain occidental, il existe plusieurs termes désignant des types de performances se rattachant à différentes traditions. La « performance concrète », est essentiellement une action artistique comportementale entreprise par un (ou des) artiste(s), face à un public ; la « manœuvre » active une tentative d'infiltration comportementale de l'environnement par l'artiste et des objets prolongateurs ; le happening ainsi nommé par Allan Kaprow et initié par John Cage ; la « poésie-action », expression proposée par Julien Blaine et par Bernard Heidsieck, l'un des fondateurs de la poésie sonore, relève de la mise en situation d'une action impliquant le texte et la présence ; la « situation construite » est une action dirigée vers le tissu social ; l’« art corporel » ou « body art » des années 1960 et 1970 définit une pratique où les limites du corps sont mises à l'épreuve dans un cadre artistique et où l'artiste vise à expérimenter et à faire partager une œuvre dans laquelle le corps est mis en état de déstabilisation cognitive ou expérientielle. D'autres traditions artistiques proposent d'autres concepts de performance. Par exemple, dans la tradition de l'art contemporain Javanais, on propose dès les années 1990 le concept de « Jeprut », une action comportementale spontanée, sans durée pré-déterminée et pouvant se dérouler sur une échelle temporelle inhabituelle. À cause de leurs caractères souvent « monstratifs », faisant appel à une certaine forme de représentation, certaines performances empruntent parfois des éléments au langage théâtral. Mais leurs démonstrations, davantage fondées sur l'idée de processus, relèvent plus de situations fondées sur une structure de déroulement temporelle qu'au théâtre. Contrairement au théâtre où le temps est construit de manière purement fictionnelle, le temps et l'espace in situ constituent souvent les éléments essentiels de la pratique de l'art performance. Certaines performances utilisent également des éléments théâtraux en les détournant de leurs fonctions d'origine, s'inspirant du concept de distanciation brechtienne. L'art performance, pratique « intermedia », au sens de ce terme donné par Dick Higgins, peut trouver son origine dans tous les secteurs de l'art dont elle brouille les frontières et mixe les catégories, même s'il est évident que, suivant le contexte socioculturel où le terme « performance » est utilisé, il inclut - ou exclut - certaines disciplines artistiques dans son processus de production. Elle peut aussi emprunter des éléments à l'art culinaire, la technologie, l'art populaire ou même quelquefois à des activités socio-économiques où le corps est utilisé à des fins marchandes (comme la microchirurgie chez Orlan, l'érotisme chez Cosey Fanni Tutti, etc.). Ainsi, une performance peut indifféremment se produire par un ou plusieurs médiums, médias ou même un média de masse. La performance peut être un art du risque immédiat, présenté en public, d'ailleurs souvent en interaction avec les membres de celui-ci. « Elle est une carte, une écriture qui se déchiffre dans l’immédiat, dans le présent, dans la situation présente, une confrontation avec le spectateur »4. La performance découle la plupart du temps d'une composition, d'une partition, ou d'une quelconque autre « écriture préalable » (comme l'affirme O. Garcin) liées à la notion de formulation. Par extension, se traduisant sous forme de texte, dessins, protocoles… produits a priori ou a posteriori, la performance donne des œuvres dépassant l'« éphéméritée » de sa révélation. Née dans un contexte de reproduction moderne de l'image, souvent éphémère et évanescente, elle remet en cause la notion de marchandisation de l'objet d'art tout en proposant des signes matériels qui sont aussi des œuvres appartenant à la catégorie des objets. Dans un tel contexte, le problème de la représentation, pour les artistes de performance comme pour les amateurs d'art, s'avère important. La représentation, traduite sous la forme d'un « spectacle » comporte certains problèmes idéologiques que des artistes actifs en art action ont dénoncé dès les débuts (particulièrement parmi les futuristes et, plus tard, par les happenings d'Allan Kaprow, puis par les situationnistes, comme en témoignent certains passages du livre La Société du spectacle de Guy Debord). Ainsi tout un mouvement de l'art performance fait appel à la mise en place de situations visant à infiltrer le tissu social (voir par exemple, l'art sociologique). Avec l'apparition des « pratique relationnelles » et de nouveaux outils de communication à la fin du xxe siècle, les artistes qui travaillent de cette manière se sont multipliés depuis les années 1990. Il est difficile de définir précisément la pratique constamment changeante de l'art performance. En effet elle semble consister essentiellement en une redéfinition des modalités d'utilisation des langages artistiques. Son inscription dans une tradition autre que celle qu'elle a elle-même créée la conduit à une référence aux systèmes des beaux-arts, c'est-à-dire alors à une présence dans l'Histoire de l'art qui ne sera plus celle qui lui a souvent été attribuée, une série d'anecdotes éphémères accompagnant le surgissement d'avant-gardes et ensuite d'individualités. Principe de création particulier, l'art performance est une réponse aux modus operandi de l'art de la fin du xxe siècle et du début du xxie siècle, questionnant l'hypothèse de pérennité de l'objet en art et annonçant le nécessaire intérêt au processus de la réalisation, l'art performance rappelle que l'art n'a pas d'existence, comme toute production de l'esprit, sans l'existence de l'artiste lui-même : la vie. La notion de « réel » est alors en question grâce à la présence concrète de l’artiste et à la focalisation sur son corps.  

Source : Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Performance_(art)   

Signez cette pétition, pour soutenir Souad Douibi, dans le combat qu’elle s’apprête à mener face à l’Office National des Droits d'Auteur et Droits Voisins et l’escroc qui a osé s’approprier une idée sur laquelle, elle avait longuement travaillé.  

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