Sauvons Julie et Margaux d'un placement abusif et illégal en BRETAGNE et en France

 PETITION  

Aidez-moi à libérer JULIE et MARGAUX d’un placement ILLEGAL et ABUSIF  

Le 17 novembre 2017, sur ordre du juge du TGI de SAINT-BRIEUC mes deux filles, Julie 10 ans et Margaux, 8 ans et 1/2, m'ont été retirées  sans raison et en violation de tous les principes légaux et en bafouant la justice française.  

Julie faisait des crises violentes. Suite à deux hospitalisations, le centre hospitalier régional   au lieu de prendre en compte les problèmes de santé de Julie à préférer faire des signalements. Ils ont refusé de faire des examens médicaux et ont reporté sur la mère (c’est-à-dire moi) les crises de Julie, c’est tellement plus facile. Julie fait des crises    PARTOUT en PUBLIC et avec TOUT LE MONDE et LOIN DE MOI sa MERE pour exemple aux dernières vacances scolaires (mars et avril 2018) chez son père à 1200 km de Lamballe, alors que je n’ai plus de contact physique et téléphonique avec Julie depuis le 21 février.

L'ASE a mis les deux enfants dans un avion à RENNES avec de fausses déclarations de perte de papiers d'identité .en direction de MARSEILLE ou elles ont été donné à des etrangers et disparues pendant 6 jours.Mme LE PO du Conseil départemental dans l'incapacité de me dire ou se trouvaient JULIE ET MARGAUX du 23 juillet 2018 au 27 juillet 2018 ...

Cette semaine j'ai été convoqué à la gendarmerie de Guingamp. Ma fille aurait été agressé sexuellement par un prédateur.Lors de la coupure de contact avec Julie , je savais que Julie avait déjà subi des sévices dès février 2018..Lorsque j'ai voulu alerter les institutuions, toutes les personnes responsables des filles dans les structures qui étaient  parfaitement au courant de cet état de fait, m'ont ri au nez. Même la Juge , les responsables du Conseil départemental des Côtes d'Armor. 

Le conseil départemental me refuse les analyses pour savoir si ma fille JULIE à contracter LE SIDA ou des maladies SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES.

Aujourd'hui, pour légitimer le placement, on veut nous faire croire à un problème relationnel   entre   Julie   et moi, sa mère !!!!.

L'expert psychiatre mandaté par le juge a fait un rapport sans appel qui signifie que "Mme P. présente toutes les compétences et tous les acquis suffisants pour s'occuper de manière satisfaisante de l'éducation de ses enfants...Il n'y a pas d'élément particulier dans son histoire qui pourrait laisser penser que Mme P ne s’est pas investi dès la naissance de ses enfants dans la relation maternelle"      

Julie (10 ans) NON vue depuis 21 février 2018, 3 h de visite Médiatisée depuis 17 novembre 2017 !! elle est placée volontairement dans la structure de BEGARD 22 ou elle a été violenté comme la petite R.... HANDICAPEE  (enfants de 8 à 17 ans garçons et filles) où les cigarettes, la drogue, l’alcool, les violences diverses, et depuis peu nous avons appris par des gens qui sont allés dans cette structure la  possibilité d'agression sexuelle et de viol.Les petites des foyers servent de tournantes aux grands. Ces faits courants ne choquent personne, tout va bien, la peur pour moi quand j’ai appris qu’elle pouvait   devenir "la plaque tournante" de la structure...ce sont des commentaires des anciens de la structure.

Julie est en TRES GRAND DANGER.  

Margaux (8ans), 5h de visite médiatisée depuis 17 novembre 2017 !!, 1 appel téléphonique par semaine (un condamné à perpétuité dans nos prisons à de meilleurs traitements que nos enfants) m’a été volée pour rendre vraisemblable ce faux problème relationnel ! elle a perdu ses amies, ses relations (elle n’a plus revu à part moi tous les gens qu’elle connaissait à Lamballe même pas son beau papa avec qui elle était très complice) Elle est devenue triste et se demande toujours pourquoi elle est là. Elle exprime régulièrement son souhait de rentrer et de retrouver sa vie d'avant la structure mais Margaux ne compte pas pour ses référents, c’est une victime collatérale.

Le psychiatre rencontré cette semaine du CMPEA de Lamballe a reconnu qu'il a demandé le placement de Margaux sans ne jamais l'avoir vu.

Une association d'enfants Autistes m'ont expliqué, que lorsque le CMPEA souhaite réaliser le placement abusif et illégal d'un enfant troublé..La Maman devient "PATHOGENE"et "dangeureuse" et il place tous les enfants de la famille  sans jamais avoir vu les autres enfants ...PRATIQUE TRES COURANTE 

Il me délivre un certificat en aout 2017 ou il reconnait Julie Malade et lors du signalement à la CRIP le 7 novembre 2017 déclare que Julie va bien ...J'ai beaucoup de mal à comprendre.

Margaux est en TRES GRAND DANGER.

J'ai voulu signaler au Commissariat les faits graves qui se passent aussi dans la structure de la Gentilhommière à PLOUFRAGAN.

La police , le 119, les associations des femmes de St Brieuc  ont refusé mon dépôt de plainte. BRAVO A TOUS DE PROTEGER CES ENFANTS VIOLES ET MALTRAITES EN STRUCTURE!!! le cas de Cergy montre la totale incompétence ou le fait que l'on étouffe les faits de prostitution sur des enfants placés à l'ASE .

Julie et Margaux subissent une rupture de fratrie, sont livrées à des étrangers, encadrées par des amateurs qui leur font des massages le soir!!!! ( j'attends une explication pour ce contact physique aussi sur des enfants de moins de 10 ans), et oui des professionnels auraient DEJA vu, agi et réglé après 5 mois le problème médical de Julie, et l'absence de tout problème pour Margaux.    

Je tenais à remercier le conseil départemental qui par l’intermédiaire de son avocat m’a contraint à modifier ma pétition. Depuis l’écriture de la pétition j’ai pu avancer sur le dossier et apprendre beaucoup de choses. ·       

  • Que je ne suis pas seule sur Lamballe, dans les Côtes d’Armor, en Bretagne, en France (des centaines, des milliers de familles détruites pour donner du travail aux sociaux, psychologues, psychiatres, enquêteurs judiciaires, médecins et avocats ou pire encore pour subventionner les institutions locales impliquées).    ·        
  • J’ai appris à faire des inscriptions en faux, je ne m’imaginais pas que l’on puisse faire de faux rapports, qu’on puisse mentir à la justice en toute impunité, que la justice puisse les valider comme vrais. Plus ils sont gros, meilleurs ils sont. ·        
  • J’ai aussi appris le processus toujours le même, pour toutes les familles
  • J’ai rencontré des dizaines de cas comme le mien avec les mêmes menaces, les mêmes pleurs, les mêmes tristesses, mes mêmes vies gâchées.
  • J’ai rencontré aussi des enfants sortis des griffes du monstre. Les mêmes réponses (violences, sexes, manque d’amour, sans formation, sans avenir, tous virés le jour de leurs 18 ans et le pire un matricule indélébile « on te prendra tes enfants si tu en as un jour »)  ·        

LES PLACEMENTS DE JULIE ET MARGAUX SONT ILLEGAUX ET ABUSIFS. PERSONNE NE PEUT SE SERVIR DE MES ENFANTS POUR REMPLIR LES STRUCTURES SAUVONS JULIE ET MARGAUX    

Mes enfants rapportent 7500 € par mois et par enfant.

3500 enfants détenus actuellement en 2017 soit 1.5% des familles des Côtes d'Armor ont un enfant placé,

Mme R ..(une politique qui ne devrait pas craindre que l'on nomme son nom)  a été informé dès le mois de février 2018 que mes filles étaient en DANGER dans les structures ou elles ont été placés  .Le prédateur de Julie est arrivé le 12 novembre 2017 à la structure et est reparti après ses méfaits le 12 mai 2018 ...Ma fille a été sous ses actes du début jusqu'au jugement de replacement du 14 mai 2018 et 15 mai 2018 ou tous les sociaux présents , la juge , la protection judiciaire de la jeunesse savaint ce que ma fille avait subit en structure .Tout le monde a nié les faits au jugement , lorsque je l'ai annoncé , tout le monde a menti .Mais pour ne pas que mes filles parlent et révèlent ce qu'elles avaint subi a 8 et 9 ans ,on a coupé diffinitivement mes enfants de notre famille !!!!!

Merci de signer :     SVP; CONFIRMEZ VOTRE SIGNATURE DANS LE MAIL QUE VOUS RECEVEZ SUR BOITE MAIL     https://www.petitions24.net/sauvons_julie_et_margaux_dun_placement_abusif#form  

merci d'imprimer la pétition suivante, de la faire signer et de nous la communiquer au juliemargaux22@gmail.com       

Voici l'histoire de Julie et Margaux   : Cachez vos enfants, fuiyez à l'étranger...

Si vous êtes dans la même LESSIVEUSE

Si les sociaux exploitent  VOS ENFANTS 

Si vous avez des enfants  qui ont des troubles du comportement et qui sont suivis au CMPEA. ATTENTION !!!   

Si vous êtes témoin de placements abusifs en BRETAGNE, ou dans LES COTES D'ARMOR

  CONTACTER NOUS : Nadine PLESTAN 06 07 13 88 77   

Si vous êtes des anciens enfants placés en BRETAGNE ou dans les Côtes d'Armor, témoignez sur les violences? LES VIOLS,LES AVORTEMENTS  que vous avez subi  en structure

 Côtes d'Armor,  MOBILISEZ  vous pour vos enfants, 

 

Sauvons  Julie et Margaux des Côtes d'Armor

D'autres victimes du 22 , de la Bretagne, UNISSONS  NOUS, 

juliemargaux22@gmail.com 06 07 13 88 77 

Après avoir signé la pétition, veuillez la confirmer en cliquant sur le lien du mail envoyé sur votre boite mail .

MERCI POUR JULIE ET MARGAUX ...

Question écrite du député Jean Lassalle à la ministre des Solidarités et de la Santé en date du 17 juillet et concernant les placements abusifs :

"M. Jean Lassalle attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur le constat inquiétant concernant la politique de placement d'enfants par des conseils départementaux, et plus particulièrement par le service de l'ASE (aide sociale à l'enfance). En effet, ce service est placé sous l'autorité et la responsabilité du président du conseil départemental. Il assure des missions de prévention et de protection en direction des enfants et de leur famille lorsque ceux-ci sont confrontés à des difficultés risquant de mettre en danger leur santé, leur sécurité, leur moralité. L'aide sociale à l'enfance, décentralisée depuis 1986, se doit de concilier le droit de l'enfant au respect de sa vie privée et familiale (articles 7 et 9 de la CIDE, article 8 de la CEDH), et le droit à être protégé quand il est en danger, négligé ou victime de maltraitance, de violences sexuelles, ou confronté à des difficultés liées aux problèmes des parents (handicap, problèmes de santé ou psychiatriques) (article 19 de la CIDE). En France, tous les ans, en moyenne 150 000 enfants sont placés à la suite de décisions administratives ou judiciaires. Les gouvernements successifs réformant la protection de l'enfance prévoyaient un certain nombre de dispositifs en faveur de la prévention et visaient à préserver les liens familiaux. Pour autant, les associations de protection de l'enfance dénoncent régulièrement que 50 % des placements pourraient être évités et que la plupart des droits fondamentaux des familles ne sont pas respectés. Ces associations demandent que des solutions alternatives diversifiées soient recherchées plus souvent. Elles réclament notamment que la loi de 1996 concernant la non séparation des fratries en cas de placement soit rigoureusement appliquée, que le lieu de placement des enfants soit le plus proche possible du domicile de leurs parents, que soient interdits les placements à la naissance, sauf nécessité impérieuse et dûment motivée et si l'enfant n'a pas de tiers (selon l'article 375-3 du code civil), que les placements à la naissance qui auront été ordonnés fassent l'objet de réexamens et que les placements en urgence effectués sans audition préalable ni des parents ni des enfants soient strictement limités aux cas d'urgence avérée. Plusieurs études ou témoignages tendent à montrer que toutes les conditions ne sont pas mises en œuvre pour maintenir ou rétablir les liens parents/enfants. Ce sont souvent des raisons d'ordre organisationnel compromettant le retour dans le foyer d'origine qui sont évoquées. Il semblerait que les droits de visite et d'hébergement ne sont pas toujours respectés et facilités par les services de l'ASE. Les familles sont confrontées régulièrement aux horaires de visite non adaptés par rapport aux horaires de travail des parents et aux activités des enfants, au recours aux visites médiatisées de plus en plus fréquentes troublant le dialogue avec leur enfant et sans que ce recours à la médiatisation soit réellement motivé, et enfin aux lieux de placement éloignés du domicile des parents bouleversant la vie scolaire, sociale, culturelle des enfants et limitant les possibilités d'exercice du droit de visite pour les parents. Ce constat doit conduire l'État à une forte prise de conscience et par conséquent à une mise en place en urgence d'un système de contrôle infaillible de ces placements, fixant aux départements et à l'ASE une véritable obligation de résultats. Dans ce contexte, il lui demande de bien vouloir lui indiquer ses intentions à la fois pour rétablir le respect des droits fondamentaux des enfants et de leurs familles dans ces structures de protection de l'enfance, et pour assurer l'avenir de ces enfants en détresse selon le devoir de l'État."

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