Contre l'abolition du programme de badminton à l'UQAC

Manque d'ouverture et de bonne volonté du responsable des sports.

Comme pistes de solutions, les étudiants ont notamment offert de financer l'équipe à 100%, de trouver un autre lieu d'entraînement afin de libérer les gymnases, d'assumer les tâches administratives en plus de monter un plan de développement pour le badminton régional. "Malgré tout cela, nous nous sommes heurtés à un non catégorique sans aucune possibilité de compromis", déplorent les étudiants.

"Si on résume, nous avons donc d'un côté un groupe de dirigeants dont la mission est de développer et de promouvoir le sport universitaire. De l'autre, nous avons un groupe d'étudiants disant essentiellement: "svp, laissez-nous jouer; nous sommes prèts à nous occuper de tout et à répondre à chacune de vos exigences".  

Et pourtant, la réponseest non.  Il y a une certaine absurdité à cette situation, n'est-ce pas?

"Mais quoi qu'il en soit, une chose est sûre: si les retombées positives de cette vision sont futures et hypothétiques, les retombées négatives, quant à elles, sont immédiates et certaines".  Cette décision fait perdre le pilier du badminton dans la région et possiblement quelques inscriptions.  Ils annoncent que présentement, cinq étudiants ont choisi l'université régionale pour le badminton, dont trois ont chisi de quitter.

Dommage!

Pour voir l'article complet, consultez le journal LE PROGRES-DIMANCHE du 26 avril 2015, p.84