CONTRE LES PRÉDATEURS SEXUELS...

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition CONTRE LES PRÉDATEURS SEXUELS....


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#426

2011-11-04 04:19

Il est grand temps que ce soit les citoyens qui soient protégés,et non pas les criminels.Prenons le traitement et la publicité ouverte du système de justice américaine face au problème des prédateurs sexuels.Ils se permettent même de publier leurs photos et adresses pour mieux protéger le public,et c'est logique.

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#427

2011-11-04 04:20

Ma signature est un appui inconditionnel contre la lutte aux prédateurs sexuels, il faut que nos gouvernements prennent les moyens pour enrayer cette situation et donnent des peines beaucoup plus sévères

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#428

2011-11-04 04:20

il faut protege nos enfants

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#429 Gouvernement et parents

2011-11-04 04:24

Oui le gouvernement doit faire quelque chose contre ces predateur sexuel,mais il faut aussi que les parents surveille leur enfant quand ils sont sur internet . Sortir l,ordinateur de la chambre , leur donner un temps de 1 heure par exemple pour aller sur internet. Pas normal que des enfants/ados passe leur soirée sur internet

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#430

2011-11-04 04:31

il est temps que mr haper face quelque chose pour le québec et quil saisse de tout donner nos taxe au ontarien et ne rien laisser pour nous autre peuple fiere.

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#431

2011-11-04 05:39

Il faut absolument que les enfants soient protégés des phédophiles , par les policiers sur internet et ailleurs.

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#432

2011-11-04 06:38

parfaitement d`accord que le gouvernement fasse quelque chose au plus vite.... et surtout que ça ne prenne pas des années avant que ça bouge... il y a beaucoup trop de nos jeunes enfants qui ce font prendre par ces salop écœurant de la pire espèce...ce ne sont pas des humains ces crottés là ce sont des monstres en liberté.... il faut les mettes en cage et perdre la clé le plus loin possible pour ne plus jamais la retrouver.... tant qu`à moi si vous ne faites rien vous êtes aussi coupable qu`eux et ce n`est certainement pas ce qu`on attend de vous... alors AGISSEZ pour le bien des enfants qui ont été victime et ceux qui risque de l`être... il faut que ça cesse MAINTENANT

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#433

2011-11-04 06:45

pour avoir fait partie de ces victimes etant une toute petite fille je voudrait mettre mon nom un million de fois

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#434

2011-11-04 07:56

A tout ceux qui ont des enfants.... SIGNER!!

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#435

2011-11-04 09:12

Débloquons les budgets afin de permettre a des équipes de policiers de se consacrer spécialement dans la lutte contre la pédophilie!

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#436 Re:

2011-11-04 09:23

#402: -  

 On s'acharne en France sur certain, alors que d'autre, que font les femmes qui viennent de l'est, le label DSK est il plus vendeur!!!

"Je positionne le canon du fusil face à mon visage, entre mes yeux"
Laurent de Villiers raconte que sa souffrance est telle qu'il pense même à mettre fin à ses jours. Il raconte ce fameux jour : "Calme, le fusil entre mes mains. Je sais ce qu'il me reste à faire. Je regarde le papier sur lequel j'ai griffonné à l'intention de papa, maman, mes frères et soeurs, un seul mot : 'Pourquoi ?'. J'enlève la sécurité. J'arme. Je positionne le canon du fusil face à mon visage, entre mes yeux. Ca devrait être rapide. [...] Mais dans le silence absolu de la maison, une sonnerie retentit. Mon portable". Ce coup de fil lui évite finalement de commettre l'irréparable.

Dans Tais-toi et pardonne, Laurent de Villiers est aussi très critique vis-à-vis de son père Philippe, qu'il accuse : "Et toi, papa, qui savais mais qui esquive. Combien de fois ai-je essayé de te parler et combien de fois as-tu détourné le regard ? [...] J'ose m'asseoir face à toi, le bureau entre nous. 'Papa, il faut que je te parle... de Guillaume'. Tu te lèves, fermes la porte et les fenêtres. Tu te rassois, me regardes. Enfin... 'Maman t'en a parlé.' Tu acquiesces et, pour la première fois, j'entends : 'Raconte-moi'. Je prends ma respiration. 'Voilà, papa...' Une sonnerie résonne. Ton portable."

"Cette histoire ne me regarde pas. C'est votre problème"
A ce moment-là, Laurent de Villiers prend ça comme "une invitation à quitter les lieux. Je m'exécute. La France ne peut pas attendre. Moi si." Une demi-heure plus tard, Philippe de Villiers aurait revu son fils, à qui il aurait déclaré avoir "réfléchi. Cette histoire ne me regarde pas. C'est votre problème".

A défaut d'avoir trouvé de l'aide au sein de sa famille, Laurent de Villiers choisit de se tourner vers la justice. Moins d'un mois après avoir reçu un email de son frère Guillaume dans lequel ce dernier reconnaît la gravité des actes qu'il lui a fait subir, Laurent décide de faire appel aux juges. "30 octobre 2006. J'ai honte. Je me sens coupable de porter plainte, d'être obligé de porter plainte. Je porte en moi la honte tenace d'avoir été souillé, sali. [...] Et je dois répondre, encore et toujours, à la question que je ne cesse de me poser : 'Pourquoi vous n'avez rien fait ?' Pourquoi ?... Parce que j'avais 10 ans, parce qu'il en avait 16... Parce que je n'avais ni la maturité intellectuelle ni la force physique".

"Il me demande de retirer ma plainte"
Finalement, Philippe, le père, et Laurent, le fils, finissent par avoir cette conversation trop souvent repoussée : "Je lui raconte le plus honnêtement du monde les raisons de mon action. Il m'écoute. Il me regarde. Il me laisse parler. Il opine de la tête. Lorsque j'ai fini, après un long silence, il se lance à son tour, me suppliant de lui donner mon pardon." Philippe de Villiers lui aurait alors promis qu'il allait s'occuper de lui : "J'arrête la politique. C'est fini, tu n'as plus besoin de te battre. A partir d'aujourd'hui, je vais te défendre. Il faut trouver une solution pour qu'on s'entende à nouveau. On peut sauver cette famille, toi et moi".

Laurent de Villiers aurait aveuglément suivi les conseils de son père. "Il me demande de retirer ma plainte. [...] Alors que je me remets à peine de notre discussion, il passe discrètement un coup de téléphone à son avocat. Une heure plus tard, une lettre tapée à la machine arrive à son appartement. Mon père m'assoit à sa table, me donne un stylo, du papier et me demande avec une infinie douceur de recopier la lettre de son juriste. [...] Je recopie et signe."

"Il va se suicider, ton frère, et tu l'auras sur la conscience !"
Malgré trois lettres de rétractation, le juge souhaite poursuivre l'enquête. Laurent de Villiers reçoit alors un coup de téléphone de son père. "Il faut que tu expliques au juge que tu as menti pour me faire du tort. Il te croira, puisque c'est ce que mon avocat lui a expliqué". Surpris, Laurent aurait affirmé ne pas comprendre : "On n'a jamais convenu de ça lors de la réconciliation ?". Furieux, Philippe de Villiers aurait hurlé : "Tu veux que ton frère aille en prison ? Hein, c'est ça ? Tu veux le voir derrière des barreaux ? Il va se suicider, ton frère, et tu l'auras sur la conscience !"

Le juge cherche cependant toujours à comprendre les différentes rétractations de Laurent de Villiers. Le jeune homme raconte que sa "famille s'est réorganisée et a inventé une tout autre version des faits. Ainsi, mon père, celui-là même qui m'avait promis son soutien et son aide, prend la plume pour expliquer au juge que c'est moi qui aurais demandé pardon en retirant ma plainte. [...] Durant la confrontation, Guillaume ne lâche rien. [...] Il s'est bien préparé. Dans les couloirs, je l'entends parler avec mon père au téléphone. Moi je n'ai rien d'autre que la vérité."

"Je ne suis plus le fils de personne"
Le 17 décembre 2010, la Cour d'appel de Versailles prononce un non-lieu à l'encontre de Guillaume de Villiers. La cour estime ainsi que les éléments à charge doivent être "relativisés" au regard des déclarations divergentes de Laurent de Villiers. Se trouvant selon elle confrontée à "deux thèses cohérentes", elle s'estime incapable de se prononcer.

Aujourd'hui, Laurent de Villiers cherche à se reconstruire et à tourner la page. "Dans quelques mois, je vais devenir citoyen américain. Je choisis le pays des rêves, de la renaissance et renonce à tout jamais à mon nom. La demande à l'immigration américaine pour le changer est en cours. Une seconde chance et un pays où je ne connais que l'amour. Aujourd'hui, je ne suis plus le fils de personne".

Le témoignage complet de Laurent de Villiers dans Tais-toi et pardonne, Editions Flammarion, 292 pages, 19 euros.

© MaxPPP



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#437

2011-11-04 10:12

De tout coeur avec votre mouvement, en France il y a déjà une surveillance internet par les autorités (gendarmeries, police,services spécialisés...)mais alerte est donnée aux parents pour contrôle parental, bloquer certains services, limiter l'accès internet à nos enfants, les parents doivent aussi être vigilants et informer leur famille du risque encouru de discuter avec des inconnus,et d'inciter les utilisateurs internet de ne jamais donner leur adresse, ni aucune coordonnée personnelle, ni accepter de rencontres fortuites.......Un enfant, un adolescent bien informé ne doit ainsi pas courir de risques....Je suggère de faire visionner des scènes adaptées sur les risques encourus par les médias (télévisions etc...Informations scolaires et pourquoi pas avec des minis films projetés en milieur scolaire sur ce sujet???!)
Vive le Canada merveilleux, vive Québec où moi j'ai grâce à une bonne utilisation d'internet des amies aussi merveilleuses....Toute mon amitié et mon admiration pour vous tous !

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#438

2011-11-04 13:09

Il faut faire un effort pour que les prédateurs soient arrêtés et punis sévèrement pour leurs actes. C'est trop facile pour eux et une mise en garde aux parents et aux jeunes qui s'y laissent prendre.

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#439

2011-11-04 13:44

pour vu que cette pétition mettre tout ces prédateurs hors ligne.....je suis vraiment dégouter et même en colère de voir qu'il y en a temps que ça et rien se produit.


Alys
cloclo

#440

2011-11-04 14:17

Il faut plus de surveillance sur le web. Moins d autorisation pour les jeunes sur le web. plus d éducations sexuel pour contrer la violence.

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#441

2011-11-04 14:30

Je suis resté sans mots aprèes avoir vu l'émission J.E. Je me demande dans quel monde pervers ns vivons.

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#442

2011-11-04 15:21

il faut soutenir nos enfants

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#443

2011-11-04 15:27

J`aimerais que le gouvernement prennent la décision de mettre tout ses prédateurs avec les criminels de bordeau,je crois que là ils vont réfléchir a deux fois avant de toucher a nos enfants.Car tand et aussi longtemps qu`ils seront enfermer entre pédofil cela vaqs continuier il faut les éliminer.

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#444

2011-11-04 16:21

Je suis une grand-maman de 3 petits enfants, bravo pour cette belle initiative

Bonne journee

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#445

2011-11-04 16:27

Assez,c'est assez.Il est primordial que les parents et les policiers protègent les enfants, de toute cette racaille

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#446

2011-11-04 18:50

faite circuler

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#447

2011-11-04 20:28

Il est vraiment temps qu'il y a des représailles j'ai été victime de la drogue du viol heureusement que je n'était pas seule il est temps que nous nous impliquons nous pour l'amour de nos jeunes filles

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#448

2011-11-04 21:26

si il peuve tous les condamne pour quon peue vivre en paix pour proteger tous nos petit enfant

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#449

2011-11-04 22:02

il est temps que nos gouvernements s'implique et punissent ces prédateurs avec plus de vigueur ............
toto

#450

2011-11-04 22:38

les parent on aussi un role a jouer dans tout sa,mais de nos jour les jeunes on le droit de tout faire sans aucune surveillence alors sa donne ce que sa donne.